Mémoire d’empreintes – collection de Moi(s)
2015 Musée Départemental à Gap
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Quand la photo devient lumière
Révélation
2012 Musée Départemental à Gap
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Une trajectoire humaine : la mienne
Aventure spirituelle de la connaissance de soi
2012 Dans le crissement des lumières miroirs
Dépasser ses peurs, mes peurs
Ne plus être ni dedans, ni dehors
mais un tout en devenir
Le corps est abris
Le corps est angoisse
Echapper au corps
et
passer d’état d’ombre à celui de lumière.
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Portraits du « je »
2006 Musée Départemental à Gap
L’installation finale au musée de Gap
se divise en 3 espaces distincts qui s’enchevêtrent et sculptent la salle Lesdiguières.
L’espace « com »
Le plus petit espace : Martine Viala fait référence à l’artiste, sa profession, …elle réfléchit le rôle de la plasticienne dans la société du spectacle.
L’espace « com » joue une apparition de lumière pour un « portrait reflet » qui renvoie à la télévision par des vidéos (d’installations plus anciennes) et une borne interactive.
Le portrait est mis en relation avec l’ego et le narcissisme, par la mise en parallèle avec le Napoléon en buste et l’énorme tombeau du connétable de Lesdiguières.
La galerie des portraits
C’est un couloir ”un Entre” qui conduit de l’espace « com » à l’intime, lieu de passage obligé dans la quête du « Je » : miroirs, ombres et reflets.
L’ Entre
Passagère de vie au bord de l’inconnu
Les murs tapissés de film miroir donnent un effet déréalisé du Moi.
Martine Viala joue sur l’inverse et oblige à passer dans cette zone mouvante, où se mêlent ses portraits et les reflets changeants des visiteurs.
Le corps est instable
Le Moi est une zone indistincte.
L’individu c’est le corps dont la peau est la limite entre le Moi intérieur et les autres. L’empreinte marque la série des portraits en pied : les âges de la vie (série de 18 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur, dont 4 tirées sur plexiglas) et le temps qui passe inscrit sa décrépitude.La quête du moi (27 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur dont 5 tirées sur plexiglas).
Identité persistante au-delà
du visible
L’espace du moi
Espace le plus grand pour le lieu de l’intime là encore tout est tendu de film miroir qui renforce la mouvance. L’on pénètre dans ce lieu par une très petite ouverture basse et après avoir chaussé des chaussons de bébé tricotés à cet effet.
Passer les seuils de l’ombre dans le temps
du vivant
Anéantissement, miroir brisé de vie
Seuil de l’angoisse
L’entre
Seuil du vide
Seul lieu de présence de l’être et du Moi.
Volonté de Martine Viala d’investir le ou les mondes parallèles de l’invisible.
L’espace très sombre, n’est éclairé que par des leds qui renforcent encore l’effet de mouvance et de spectral, une machine à eau fait circuler un mince filet qui tombe dans un « bassin-cercueil », circulation des énergies du vital…jusqu’à la mort.
Suspendus, à peine visibles, des tubes de plexiglas travaillés avec des perles de verre intègrent de petites sculptures en plexiglas ils symbolisent les strates de la mémoire.
Secret du soi
même pour soi
Impossibilité du fixe
Fugace des moments
Lumière lunaire de L’Entre
Film de création tourné dans l’installation au musée à Gap en 2006
2007 Lumière lunaire de l’Entre
Le chemin du reflet
2006 – Installation éphémère in situ sur le plateau de l’observatoire de Calern, présentation avec participation du public. 7ème exposition de In Situ Corpo
Les installations des ”Porteuses d’ombre” sont présentées en photo plastique avec les Veuves