Les âges de la vie d’une femme 2005-2006

L’élévation du Moi 2005-2006

Jeu de filtres 2005-2006

Au-delà du miroir

 

Anamorphoses

 

 


Reflets d’une biennale

 

 

 

Mirages d’Entre

Furtive du « Je »

Miroirs d’ailleurs

 

 Passer dans un musée, regarder les oeuvres est un temps de plaisir

 mais y installer une exposition donne à voir le lieu d’une manière autre!

Résonance  2020…2022

Les cristalloïds

Aériens et terrestres

ancrés,  flottants instables sur l’onde miroitante

S’inscrivent en reflets dans l’univers cosmique

Racine de résine au monde du miroir d’images – échos des multivers

Où les réalités s’éveillent

au seuil du rêve de dépassement des ténèbres

Rayonnantes ondes d’imagination d’un au-delà de  Résonance……….

Force vers le retentissement du souffle

à la limite du réel du timbre des voix multiples

L’Entre

Fille d’antiquaire, dès l’enfance je pouvais toucher, caresser des pièces rares… percevoir leurs ondes vibratoires et rêver leur passé.  Pendant mes études à l’école du Louvre et lors de fouilles archéologiques le contact privilégié avec nos trouvailles et le vécu des objets développent des questionnements sur le passé et son avenir.
Depuis…plasticienne, je questionne la rémanence des choses, leur message au présent, le ”Passage” et les interférences du temps, des lieux, des événements et des gens.

L’Entre est un paradoxe : 2006 – 2009

Un  » espace – hors – temps » écart de passage ancré dans le présent d’une salle d’archéologie d’un musée muséum.

L’ENTRE est passage entre connu et inconnu ∞∞∞∞∞∞ Lumière et ténèbres

L’ENTRE est le lieu de la vibration ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ Point d’énergie

                                                                          ∞∞∞∞∞∞ Mouvement sans fin de pensée complexe

L’ENTRE lie cosmique et humain vers l’unité perdue

 L’ENTRE le possible de tous les mystères

Là, le miroir de l’inverse sollicité par  » l’artiste – alchimiste » pénètre strate après strate le reflet d’infini pour construire le présent de l’Entre.

Mouvances translucides  » oxymore – volume  » d’une éphémère empreinte du durable. Echos d’images impalpables, passage mémoire de strates de vies d’imperceptibles ailleurs vers l’infime du vide.

Les matériaux de l’Entre sont éminemment symboliques 

Les « Pétales de verre….. »

Cassée, roulée, attaquée par le sel, dépolie par la mer… la silice manufacturée subit le passage du temps L’objet ordinaire, magnifié par l’usure devient  » pétales de verre « 

Les « Cristalloïd »

Minérale fusion solidifiée

Pierre lumière chamanique  ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ transparence de l’Entre monde

La poussière d’étoile naît

Les « échos d’oracles »

Sonores sabliers de verre ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ Perpétuel devenir d’une aventure inachevée

                                          ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ Prophétique espace-temps du vivre

                                                                                                 Instruments de la révélation primitive

Les « coupes d’éphémère »

Translucide verre d’opale aux reflets moirés par les poudres précieuses                                                       
”le verre de papier  » naît de la transmutation du matériau fragile en solide réceptacle
                                          ∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞ secret des métamorphoses hermétiques


2010 Dédicaces d’Entre

Le « labo » est l’antre de l’ Entre…
La Rémanence des espaces du temps  ”le Passage”

Un écart ancré dans le présent et son passé

Un au-delà du seuil ultime, lieu de poésie, d’alchimie, d’art, magique  » hors- temps  » lieu du doute où tout devient possible

La rémanence devient le reflet du passé du temps, image seuil de l’autre. Imprévisible hasard des événements

Ombres imaginaires réalisées pour d’apparentes réalités virtuelles.

2009 Le bonus de l’Entre

La multiplicité des  » Entre  » entremêle des univers parallèles.
Les courbures concaves des miroirs font converger les reflets, les infléchissent, les détournent pour des images virtuelles qui questionnent la réalité du présent.

Morceau de tombe, montant de porte détourné de ses attributions, le mégalithe du Serre des Fourches est devenu « Menhir ».

∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞∞

Les Choses

Le conceptuel -esthétique manipule sens et images pour faire acte de présence par une quête personnelle, qui questionne la vie et l’humain en particulier.

Pour moi
la création est la quête, non le but.

Recherche de l’intensité intérieure pour porter le travail vers la poésie ironique, l’ambiguïté du sens et
l’expérimentation technique du nouveau matériau. Ma démarche s’inscrit dans une recherche à long terme, où chaque série en induit une autre  (certaines séries comportent beaucoup de travaux, d’autres très peu.)

Travail en effet puzzle, où chaque pièce, chaque élément… se complètent, se superposent et s’entrecroisent pour former un tout cohérent dans la durée et l’idée évidente que :

                                                                        « le présent est toujours le passé du futur ».

Supports et formes sont diversifiés, mais indissociables : la gravure et les livres … sont, pour moi, aussi importants que les installations ou les nouvelles technologies. Les techniques, les matériaux employés et le geste changent avec le thème traité et chaque élément est soigneusement choisi pour un travail en harmonie symbolique avec mon concept.

C’est un peu plus de 4 ans avant leur présentation que j’ai décidé « les choses » tout le monde parlait du passage de l’an 2000 et du IIIème millénaire, l’avenir, l’avenir bien sur… … mais le présent et l’état de l’humain dans ce présent, qu’en était-il vraiment ?

Cet homme du IIIème millénaire, qu’avait-il de si différent de celui du paléolithique : son environnement scientifique et technique, sa durée de vie… ?                                                                                                                                

Mais cet être a-t-il su construire une humanité digne de lui : le paraître est partout dans l’ère de la société du spectacle. Certains hommes d’aujourd’hui ne sont que des enveloppes vides, très belles, cultivées, entretenues,…

mais vidés de sens, ils ont perdus leur humanité, voilà les choses.

Aujourd’hui encore, la mort est partout, il faut espérer et de voir cette mort comme une renaissance
possible de l’espèce, comme un passage. J’ai donc travaillé sur les rites de l’embaumement et l’espoir « en athée mystique »

Les choses : 1999 — 2005  C’est aussi une année de recherches symboliques et techniques pour mettre au point les matériaux et les matières utilisées (tout est fabriqué par l’artiste) et 4 ans de réalisation

Soit au total 549 pièces pour 9 installations, 2 livres d’artiste et 7 sculptures

La présentation de Martigues en février 2004 occupait 400M2

En 2005 le musée de Gap acquière et expose une des 9 installations : les portes des choses pour du spirituel dans l’art.

Voir les Choses

« Suspendus dans leur envol,
ils s’agrippent à leur illusoire enfermement, perlés d’amères préjugés.

Leur cage se confond à ce corps
translucide, leur attente se confond à cette quête de lumière.

Miroir de désespérance où l’être de
précarité se dore au soleil

Chaque rayon mordore leur
construction. » 
(Cate Cape)

LES CHOSES

Innommables reliques virtuelles de l’humain en décomposition, sentiment du désastre engagé

Homme créateur de désastre par  manque de réflexion

Homme qui dans une absurdité totale met en danger l’espace universel

Homme superficiel, qui aveuglé, a perdu l’essence même de son être

Corps dont il ne reste pour certains, qu’un infime souffle d’esprit… comme le souvenir du vécu

Corps où la beauté et la matière ne sont que le reflet de l’apparence du visible

Corps dont le flux de vie s’est écoulé, désolation de la beauté feinte, avancée inéluctable vers la disparition de l’espèce… … jusqu’à l’effacement de la trace

Choses d’apparence, illusoires, trompeuses, superposition de masques aux défroques vidées

Choses d’images, signes passés de la présence humaine

Choses êtres ou objets

                                                                                                                  Martine Viala octobre 2003

LES CHOSES : technique, matériaux, forme et symbolique

Pierre de papier : dureté de la pierre et fragilité du papier.

Le papier mâché est travaillé en partant de mélanges de papier spéciaux et amalgamé avec des colles et des résines diverses qui lui donnent sa solidité au séchage. Le papier est déchiqueté, trituré, malaxé pour réaliser des  » poupées marionnettes  » de moins en moins humaines. Puis après séchage est enduit de couches fines de glacis de nacre pulvérisé…

Ce n’est qu’après une dizaine de couches entrecoupées de séchages, que l’on obtient l’effet désiré. Avec l’avancée du travail, les corps s’allongent, se recroquevillent et disparaissent de plus en plus sous leurs artifices. La pierre, symbole de sagesse est liée aux pratiques magiques et permet la transmutation de l’opaque vers le translucide, des ténèbres vers la lumière.

Pour Raymond Lulle la pierre philosophale est l’élixir de la vie.

Perles de verre :

Le verre, comme le cristal, représente la transparence, intermédiaire entre les mondes du visible et de l’invisible. Le cristal serait le reflet de l’inconscient et raconterait, à travers nous, l’histoire du monde. Les perles sont, comme le nacré, symbole de renaissance spirituelle après la mort. Signifiantes de pureté elles régénèrent.

Le jade :

Emblème de la perfection et des qualité morales, indestructible, il est chargé d’énergie cosmique. Il joue un rôle primordial en alchimie. Pour les pratiques funéraires il sert à la régénération des corps et souvent assure l’immortalité. Le vert de la pierre de papier cherche à donner un effet de jade.

Le quartz rose :

Il allie les qualités du cristal et de la couleur rosée symbole de régénération. Certaines parties de la pierre de papier sont légèrement rosées. Quelques formes font penser aux kwanin, déesses asiatiques réalisées en jade ou quartz rose.

Le chiffre 9 : employé comme valeur rituelle.

Le 9 c’est la totalité des trois mondes : ciel, terre et enfers, mais aussi les 9 sphères célestes, les 9 cercles infernaux. C’est la chiffre de la plénitude chez les chinois… Ce sont les 9 ouvertures de l’humain, ses voies de communication avec le monde, qui servent dans les rites d’embaumement. En fait l’on retrouve le chiffre 9 tant dans les mythologies anciennes que dans les rites chamanique, il annonce la fin et le recommencement.

Pour l’ensemble du travail, le nombre de pièces réalisées est un multiple de 9, en plus chaque série ou installation est basée sur le chiffre 9.

L’ensemble  des choses est actuellement de 549 pièces de 23cm à 2.20m.

2006 Le monde des Choses

 » Avec les portes des choses” Martine Viala ne cherche pas à construire

Elle propose une parenthèse, une pause, un au-delà de l’histoire.

Par la création d’un temps mort, elle mobilise cette vie silencieuse quinous habite à l’intérieur. »

Les portes des choses sont-elles limites, frontières, passages…

Ou bien, territoires de »l’entre », espace de non lieu?

En fait, ici, est le moment privilégié où l’on est double, à la fois sortant et entrant

Seul instant où début et fin se confondent naissance et mort,

espace de choix ou de non choix vers une autre voie…

                                                      (Frédérique Verlinden conservateur du musée à Gap)

Mémoire d’empreintes – collection de Moi(s)

2015 Musée Départemental à Gap



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Quand la photo devient lumière

Révélation

2012 Musée Départemental à Gap



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Une trajectoire humaine : la mienne
Aventure spirituelle de la connaissance de soi


2012
 Dans le crissement des lumières miroirs

Dépasser ses peurs, mes peurs
Ne plus être ni dedans, ni dehors

mais un tout en devenir


2012 Nymphe de lumière

Le corps est abris
Le corps est angoisse


2012 Echos illusoires

Echapper au corps
et
passer d’état d’ombre à celui de lumière. 

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Portraits du « je »

2006  Musée Départemental à Gap

L’installation finale au musée de Gap
se divise en 3 espaces distincts qui s’enchevêtrent et sculptent la salle Lesdiguières.

L’espace « com »

Le plus petit espace : Martine Viala fait référence à l’artiste, sa profession, …elle réfléchit le rôle de la plasticienne dans la société du spectacle.
L’espace « com » joue une apparition de lumière pour un « portrait reflet » qui renvoie à la télévision par des vidéos (d’installations plus anciennes) et une borne interactive.
Le portrait est mis en relation avec l’ego et le narcissisme, par la mise en parallèle avec le Napoléon en buste et l’énorme tombeau du connétable de Lesdiguières.

La galerie des portraits

C’est un couloir ”un Entre” qui conduit de l’espace « com » à l’intime, lieu de passage obligé dans la quête du « Je » : miroirs, ombres et reflets.

L’ Entre
Passagère de vie au bord de l’inconnu

Les murs tapissés de film miroir donnent un effet déréalisé du Moi.

Martine Viala joue sur l’inverse et oblige à passer dans cette zone mouvante, où se mêlent ses portraits et les reflets changeants des visiteurs.

Le corps est instable
Le Moi est une zone indistincte.

L’individu c’est le corps dont la peau est la limite entre le Moi intérieur et les autres. L’empreinte marque la série des portraits en pied : les âges de la vie (série de 18 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur, dont 4 tirées sur plexiglas) et le temps qui passe inscrit sa décrépitude.La quête du moi (27 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur dont 5 tirées sur plexiglas).

Identité persistante au-delà
du visible


2007 La galerie des photos

L’espace du moi

Espace le plus grand pour le lieu de l’intime là encore tout est tendu de film miroir qui renforce la mouvance. L’on pénètre dans ce lieu par une très petite ouverture basse et après avoir chaussé des chaussons de bébé tricotés à cet effet.

Passer les seuils de l’ombre dans le temps
du vivant

Anéantissement, miroir brisé de vie

Seuil de l’angoisse

L’entre

Seuil du vide

Seul lieu de présence de l’être et du Moi.

Volonté de Martine Viala d’investir le ou les mondes parallèles de l’invisible.

L’espace très sombre, n’est éclairé que par des leds qui renforcent encore l’effet de mouvance et de spectral, une machine à eau fait circuler un mince filet qui tombe dans un « bassin-cercueil », circulation des énergies du vital…jusqu’à la mort.

Suspendus, à peine visibles, des tubes de plexiglas travaillés avec des perles de verre intègrent de petites sculptures en plexiglas ils symbolisent les strates de la mémoire.

Secret du soi

même pour soi

Impossibilité du fixe

Fugace des moments


2007 Le monde intérieur

Lumière lunaire de L’Entre

Film de création tourné dans l’installation au musée à Gap en 2006


2007 Lumière lunaire de l’Entre

Le chemin du reflet

2006 – Installation éphémère in situ sur le plateau de l’observatoire de Calern, présentation avec participation du public. 7ème exposition de In Situ Corpo


2006 Le chemin du reflet

Les installations des ”Porteuses d’ombre” sont présentées en photo plastique avec les Veuves

L’humain est multiple, chaque individu est un « tout »… ambigu.

Je suis artiste et femme, depuis plus de 30 ans, mon travail porte cette dualité complémentaire et constructive dans la quête de la source originelle et primordiale du Moi pour percer le visible. On ne peut pas séparer l’art et la vie, le quotidien, l’environnement,…influent sur l’artiste et interfèrent dans les recherches.

Le choix des arts plastiques comme support de la quête vient de la possibilité du dépassement des limites culturelles et de la liberté qui en découle.

En art tout est possible !

Ce qui est important c’est d’être vrai et honnête avec soi-même dans la démarche : alors la réalisation sera juste, en accord avec les recherches. L’artiste fait des propositions intellectuelles et plastiques pour

Donner du sens !

Depuis 1983 je réfléchis le « Passage », toutes les formes de passages, par la mise en question des dimensions dans l’espace (3 ou plus) et de la linéarité du temps. Je travaille l’invisible et l’indicible, ce presque rien….ce vide si révélateur d’autres réalités ou de réalités autrement. Réalité mais pas vérité, ni beauté,…plutôt le magique, le sacré, la poésie…

Au premier abord, les gens voient la surface des choses, puis vient le moment des choix d’avenirs « le Passage ». Le philosophe, l’artiste,…vont plus profond encore vers le dévoilement et la connaissance. Jamais l’on ne trouve la réponse, ce qui est important c’est de poser les questions. Le doute est l’ami du chercheur.

Chaque exposition présente un état de quête et ouvre le Passage vers un autre « état » dans la continuité du chemin vers l’approfondissement.

Réussir, c’est laisser trace en imprimant son empreinte avec l’espoir d’être un tremplin pour l’avenir.
Pour les expositions je pratique le « conceptuel esthétique »

Premier manifeste en 1998, le second en 2000.

C’est la mise en situation de « volumes » fabriqués par l’artiste pour des installations dans un environnement précis. Chaque pièce, ou morceau d’installation est elle-même une réalisation artistique, mais fonctionne en plus avec l’ensemble.

======= Une signification modulable renforcée par l’organisation en fonction du lieu

======= Un art éphémère dont une partie est pérenne.

L’installation est un art éphémère, elle n’est jamais reproduite à l’identique. Chaque questionnement ou lieu de monstration induit un médium qui renforce le sens. Pour la forme le travail s’organise autour de 2 axes :

Soit : un travail de volumes en matériaux signifiants symboliquement

Soit : le médium lui-même fait sens, Photos-vidéo-performance-numérique…

Les installations ou les autres formes de la recherche peuvent paraître très différentes d’une exposition à l’autre puisque les matériaux et les techniques s’adaptent au thème et au sens. Mais toutes sont reliées, se répondent ou se questionnent dans la durée, confirmant leur pertinence.

Je réalise en plus un important travail d’archivage et de classement (photos, vidéos, textes…) seule trace pérenne de ce qui fut.

Le Passage est un travail sur la durée.

Tout d’abord j’étudie le rapport des humains avec la naissance, la mort, le primitif….les signes du passage sur terre et la création de l’univers (1983…1991)

– Traces, signes, empreintes puis les rêveurs et au passage de la comète d’Haley cosmologie,…

Ensuite, les morts sociales…la guerre

– Les Veuves (1984…1994) puis les Porteuses d’ombre (1994…2005) en photos

– « et si il était encore temps » (1990…96) et scénario pour un chaos organisé (1997…2000) pour le travail en volume-matière.

Puis avec le Passage au IIIe millénaire, la fragilité de l’espèce et sa destruction « programmée »

– Les Choses, les portes… (2000…2005)

Peu à peu, la relativité, la physique Quantique, les interférences avec le passé m’ouvrent des portes transparentes, mais possibles et ressenties : regarder pour voir.

– Trans-apparence (1996…99)

– Les hétaires (1998…2000)

– L’Entre (2005…2010)

Peu à peu, tout ramène au « Je » et si l’individu était lui-même un univers, une porte, un Passage vers d’autres choses, d’autres réels, d’autres questionnements,…???

2 grandes séries « Reflets » et « Ombres » débutées en 2005 sont toujours en cours, l’autoportrait et la lumière prennent de plus en plus d’importance (photos, vidéos, performances et installations).

L’artiste est révélateur d’invisible