Vidéos plastiques et expérimentales

 


2008 – l’ombre des miroirs de moire dorée


2011 – Insensiblement dansent les cheveux soleil


2011 – Dans le bruissement des miroirs de pluie


2008 – Mirages du JE


2011 – Le miroir aux miracles


2011 – Révélation glacée des miroirs de neige


2009 – Interférences

 

Découvrez d’autres vidéos de création dans les autres rubriques et sur Dailymotion

 et à partir du 16 mai 2015 – 52 vidéos de création présentées au Musée Muséum Départemental à Gap lors de l’installation ”collection de Moi(s)”

 

 

 

VIDEO de création et de recherche de Martine Viala liste par thèmes 

Autoportraits — Mirages de Moi

          2008 Mirages du « Je »  (6′) MF*

          2008 – L’ombre des miroirs de moire dorée (5’47) MF

          2009 Interférences  (9’56)

          2010 – Reflets d’une biennale (12′) MF

          2011 – Révélation glacée des miroirs de neige  (6′) MF

          2011 Dans le bruissement des miroirs de pluie (8’30) MF

          2011 – Insensiblement dansent les cheveux soleil  (6’18) MF

          2012 Echos illusoires – (4′) MF

          2012 – Nymphe de lumière – (6′) MF

          2012 Dans le crissement des lumières miroirs – (5′) MF

          2013 – Le souffle du mirage (2′)

          2014 – L’ombre de l’Entre d’or (6’) MF

          2014 – Reflets virtuels de réalités vraies (8’) MF

          2014 – Perdue dans le labyrinthe du mirage miroir (6’20) MF

 

Reflets

          2006Reflets de moires de brise (5′)

          2007 – Lumière lunaire de l’antre – (9′) MF*

          2009 – Le pont d’Ambialet  (9’32)

          2009 – Dans le vague des distorsions reflets (5’10) MF

          2010 – Lumières d’eau  (10’09) MF

          2010 Ciels d’eau  (12’03)

          2011 – A la poursuite de l’onde vive  (5′) MF

          2011 – Dans le scintillement des parures de l’ondine  (6’45) MF

          2013 – Trans-lucide des apparences (5’40) MF

          2013 – Le trouble des ombres vénitiennes (4’50) MF

          2013 – Passage d’inverses (6′) MF

          2013 – Passants d’outre monde (4′) MF

          2015 – Dans le trouble des apparences (3’30) MF

          2015 – Mirages de l’Entre de l’eau lumière (4’30) MF

 

Révélation 

          2011 Le miroir aux miracles (10’29) MF*

          2014 – Ombre de lumière (5’) MF

          2014 – Musicales vibrations des échos d’images (5’) MF

          2014 – Ombres des ondes portées (7’) MF

 

 

Collection d’une Passante – Vidéos 

          2012 – L’Entre insondable du soleil noir  (6′)

          2011 – Dans le murmure des prières des moulins de Labrang  (7’10)

 

Ombre – lumière

          2010 – Entre-sombre  (9’26) MF*

          2012 Ombre Passante cherche après Lilith  désespérément  (5′)

          2013 – Empreinte d’ombre d’onde (4′) MF

          2013 – Les ombres du mirage (5’10) MF

          2013 – Au pays de l’étrange (4’50) MF

          2013 – Reflets d’ombres des ondes du temps (4’) MF

          2013 – Ombres du labyrinthe des moires d’onde (3’30) MF

          2014 – Dans l’Entre de Lilith (8’40) MF

          2014 – Lilith rencontre l’esprit de la caverne (9’20) MF

          2014 – L’ombre de l’eau d’or (5’) MF

          2014 – Ombre posée du double monde (4’30) MF

          2014 – Moires d’ombre posée (8’10) MF

          2014 – A l’origine des chimères de Lilith (8’10) MF

          2015 – Métamorphoses de l’ombre de pierre (7’30) MF

          2015 – L’oracle et le crapaud (5’) MF

          2015 – Eveil archaïque de l’ombre pariétale (3’) MF

          2015 – La funambule du monde du vert (6’40) MF

          2015 – Paradoxale matière d’ombre (7’50) MF

          2015 – Le trouble de Percefeuille (5’) MF

          2015 – L’ombre du pont du mirage vert (5’20) MF

 

 

Archives

1985 — Trace  « trucages » (vidéo expérimentale-réalisation images et musique) 19’37 en ¾Umatic et VHS –  Production Neige sur l’écran – numérisé

1985 — Traces  (vidéo expérimentale-réalisation images et musique) – (7′) en ¾Umatic et VHS-  Production Neige sur l’écran – numérisé

1985 — Les yeux  (vidéo expérimentale-réalisation images et musique) (12’20) en ¾Umatic et VHS – Production Neige sur l’écran – numérisé

1986 — Présence   (5’50)  – en ¾ Umatic – production MJM – Nice          

1987 — Retouches  (6′) –  en ¾ Umatic – production MJM – Nice 

 

*MF – coproduction ”musée de France”

 

 

 

La vidéo de recherche

 

Les premières années – les années 80

Tout commence par la fondation du C.E.R.C.A* en 1982 

Puis de groupes de recherche

          – A Suivre… en 1983– moyen pour les artistes de réfléchir ensemble et de dynamiser nos recherches contemporaines – beaucoup d’expérimentations…des performances, de la musique,…

          – Neige sur l’écran en 1983 s’oriente vers la recherche multimédia et le film expérimental

Avec les performances et les installations éphémères il faut filmer pour faire trace, une demande de subvention régionale permet en 1984 l’achat d’un matériel vidéo transportable.

Les années 80 seront à la fois

– l’apprentissage de cette nouvelle technique (stages de prise de vues, de scénario, de montages,…)    je travaille sur des documentaires pour une « boite » de production niçoise (MJM*).

– et des années d’expérimentation artistique avec  « les moyens du bord »  

Entre 1985—-87 réalisation de plusieurs films autour du signe, de la trace et des yeux (vidéo JVC – VHS et un ordinateur TO7 pour les trucages, création des musiques concrètes)  

Neige sur l’écran devient producteur des films de recherche

15 ans – sans production vidéo 1990 : arrivée à Marseille – changement de lieu, d’atelier et… plus de matériel. Les recherches évoluent et s’orientent vers d’autres supports de création : arrêt de la performance et de la vidéo.

 

 

Années 2000 – et aujourd’hui

En 2000 à Martigues la présentation de « Les choses »  installation de 400m2 déclenche l’envie de travailler avec la lumière pour sculpter l’espace  et créer des ambiances plus signifiantes. Participation à une performance théâtrale filmée dans l’installation. 

En 2004 la rencontre avec Madame Frédérique Verlinden, conservateur au Musée Départemental à Gap, va faire évoluer et dynamiser mon travail.

10 ans d’échanges, de relation, de création,…d’amitié

10 ans de quête où le musée est au centre du travail  

L’exposition  « les Veuves »  présente des installations où la photo (noir et blanc) multipliée est mise en situation pour créer une atmosphère particulière, proche des effets cinéma.         

      

                

En 2006 lors de l’exposition du  « Je »  la lumière, le reflet, le corps sont au centre des questionnements …. 

                                                                           ….retour à la performance et à la vidéo de recherche            

La reprise de la vidéo de recherche m’oblige à me « re-situer » par rapport à ce médium qui a fortement évolué en 15 ans, mais aussi aux nouvelles orientations de la quête plastique…et personnelle.

Une partie des films est coproduite par le Musée Départemental à Gap qui stimule les recherches par plusieurs expositions personnelles et de groupes.

Chaque film est une éphémère empreinte d’un moment de quête

Tout au long de ces 10 ans, la vidéo prendra une orientation nouvelle pour se modeler sur les recherches plastiques : si le Passage et l’Entre sont toujours présents, le reflet, l’ombre et la lumière renforcent le côté spirituel et questionnent le virtuel et la réalité vraie. 

L’ombre portée propose la dualité par projection du Moi. L’ombre est statique et figée, ici le double est déformé pour communier avec l’espace récepteur. L’instant révèle l’invisible et imprime le moment du passage.

Le reflet est un « écho d’image » : le Moi est déformé, mouvant, insaisissable et flou en liaison avec l’espace-temps, il questionne le dépassement possible des apparences.

Ici, perceptions fugaces, ombres et reflets se posent en complémentarité et jouent sur le paradoxe de leurs oppositions volontairement perverties, prétexte au ressenti d’univers autres.

La lenteur propose la volonté de « pausé – posé », de trouver le juste temps – celui de s’arrêter pour penser, de retrouver la qualité et le sens du long terme (le slow de Carl Honoré dans les années 80)              

Les installations s’allègent d’une partie du volume, remplacé par des projections de photos et vidéos en « sculptures de lumière « . 

Dans ces jeux « d’échos d’images » le réel est perverti, déformé,…il questionne l’au-delà de la réalité. 

Je travaille ce qui persiste, ce qui reste en mémoire : la rémanence

La présentation des films est une mise en situation des vidéos imaginée pour devenir imaginante.

Le spectateur est dans un « Entre trois »  imperceptible état, d’un moment furtif d’absence,…de vacance,…de liberté…de respiration ou le regard s’efface derrière le ressenti, ou la lenteur stimule le processus mental vers l’imaginant (Pol Bury, le temps dilaté)                                                       

                                        

La technique aussi est particulière

Les films sont prévus pour être présentés lors d’ expositions, volontairement très courts (de 2’ à 12’) pour un public en visite.

Dans les films de création je privilégie le travail au tournage, lent et minutieux avec une préparation précise, scénographiée, travaillée comme une performance. Les prises de vues sont répétées et tournées plusieurs fois pour arriver à donner ensuite l’impression d’un instantané où je joue avec l’image et son reflet. Le montage en est facilité et allégé.

Les performances sont auto-filmées et les films réalisés directement par l’artiste sont montés sans trucages : tout se passe lors des prises de vues directes, réglées par des jeux de miroirs déformants pour le Reflet. Les flous, les bougés… sont conservés pour renforcer l’effet d’instantané.

 

A ce jour :

– 60 films en vidéo de recherche et de création

– 16 films sur le travail, les performances et les réalisations plastiques

 

 

 

 

 

 

 

 

* C.E.R.C.A – centre d’expérimentation, de recherche et de création artistique

* MJM : Média jeunesse méditerranée Nice 

 

 

Les âges de la vie d’une femme 2005-2006

L’élévation du Moi 2005-2006

Jeu de filtres 2005-2006

Dans le calme du sanctuaire des tâches colorées ponctuent le sol

Le soleil pénètre le lieu saint au travers des vitraux

Passage de lumière éclatante qui frappe le sol d’un moment éphémère

                                                                                                                        Soudain 

Une ombre portée…

                                                                                   Hasard ?

Ombre de lumière 2009-2013

Lumière d’Ombre 2008-2011

Au-delà du miroir

 

Anamorphoses

 

 


Reflets d’une biennale

 

 

 

Mirages d’Entre

Furtive du « Je »

Miroirs d’ailleurs

 

 

Inverse

Jeu de reflets et de changement de « sens »

imaginaire des apparences

inconnu irrationnel des espaces vibratoires

 

 
 
 
 
 
 
 

Anamorphoses illusoires

 
 
 
 
 
 
 

2006 Reflets de moires de brise

 

Double inverse

 
 
 

 

 

2009 Le pont d’Ambialet

 

 

 

Miroirs de l’onde vive

 

 


 

 

 

 

 

 

 

2011 A la poursuite de l’onde vive

 

 

 

 

2010 Ciels d’eau

Mémoire d’empreintes – collection de Moi(s)

2015 Musée Départemental à Gap



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Quand la photo devient lumière

Révélation

2012 Musée Départemental à Gap



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Une trajectoire humaine : la mienne
Aventure spirituelle de la connaissance de soi


2012
 Dans le crissement des lumières miroirs

Dépasser ses peurs, mes peurs
Ne plus être ni dedans, ni dehors

mais un tout en devenir


2012 Nymphe de lumière

Le corps est abris
Le corps est angoisse


2012 Echos illusoires

Echapper au corps
et
passer d’état d’ombre à celui de lumière. 

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Portraits du « je »

2006  Musée Départemental à Gap

L’installation finale au musée de Gap
se divise en 3 espaces distincts qui s’enchevêtrent et sculptent la salle Lesdiguières.

L’espace « com »

Le plus petit espace : Martine Viala fait référence à l’artiste, sa profession, …elle réfléchit le rôle de la plasticienne dans la société du spectacle.
L’espace « com » joue une apparition de lumière pour un « portrait reflet » qui renvoie à la télévision par des vidéos (d’installations plus anciennes) et une borne interactive.
Le portrait est mis en relation avec l’ego et le narcissisme, par la mise en parallèle avec le Napoléon en buste et l’énorme tombeau du connétable de Lesdiguières.

La galerie des portraits

C’est un couloir ”un Entre” qui conduit de l’espace « com » à l’intime, lieu de passage obligé dans la quête du « Je » : miroirs, ombres et reflets.

L’ Entre
Passagère de vie au bord de l’inconnu

Les murs tapissés de film miroir donnent un effet déréalisé du Moi.

Martine Viala joue sur l’inverse et oblige à passer dans cette zone mouvante, où se mêlent ses portraits et les reflets changeants des visiteurs.

Le corps est instable
Le Moi est une zone indistincte.

L’individu c’est le corps dont la peau est la limite entre le Moi intérieur et les autres. L’empreinte marque la série des portraits en pied : les âges de la vie (série de 18 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur, dont 4 tirées sur plexiglas) et le temps qui passe inscrit sa décrépitude.La quête du moi (27 photos argentiques retravaillées à l’ordinateur dont 5 tirées sur plexiglas).

Identité persistante au-delà
du visible


2007 La galerie des photos

L’espace du moi

Espace le plus grand pour le lieu de l’intime là encore tout est tendu de film miroir qui renforce la mouvance. L’on pénètre dans ce lieu par une très petite ouverture basse et après avoir chaussé des chaussons de bébé tricotés à cet effet.

Passer les seuils de l’ombre dans le temps
du vivant

Anéantissement, miroir brisé de vie

Seuil de l’angoisse

L’entre

Seuil du vide

Seul lieu de présence de l’être et du Moi.

Volonté de Martine Viala d’investir le ou les mondes parallèles de l’invisible.

L’espace très sombre, n’est éclairé que par des leds qui renforcent encore l’effet de mouvance et de spectral, une machine à eau fait circuler un mince filet qui tombe dans un « bassin-cercueil », circulation des énergies du vital…jusqu’à la mort.

Suspendus, à peine visibles, des tubes de plexiglas travaillés avec des perles de verre intègrent de petites sculptures en plexiglas ils symbolisent les strates de la mémoire.

Secret du soi

même pour soi

Impossibilité du fixe

Fugace des moments


2007 Le monde intérieur

Lumière lunaire de L’Entre

Film de création tourné dans l’installation au musée à Gap en 2006


2007 Lumière lunaire de l’Entre

Le chemin du reflet

2006 – Installation éphémère in situ sur le plateau de l’observatoire de Calern, présentation avec participation du public. 7ème exposition de In Situ Corpo


2006 Le chemin du reflet

Les installations des ”Porteuses d’ombre” sont présentées en photo plastique avec les Veuves

L’humain est multiple, chaque individu est un « tout »… ambigu.

Je suis artiste et femme, depuis plus de 30 ans, mon travail porte cette dualité complémentaire et constructive dans la quête de la source originelle et primordiale du Moi pour percer le visible. On ne peut pas séparer l’art et la vie, le quotidien, l’environnement,…influent sur l’artiste et interfèrent dans les recherches.

Le choix des arts plastiques comme support de la quête vient de la possibilité du dépassement des limites culturelles et de la liberté qui en découle.

En art tout est possible !

Ce qui est important c’est d’être vrai et honnête avec soi-même dans la démarche : alors la réalisation sera juste, en accord avec les recherches. L’artiste fait des propositions intellectuelles et plastiques pour

Donner du sens !

Depuis 1983 je réfléchis le « Passage », toutes les formes de passages, par la mise en question des dimensions dans l’espace (3 ou plus) et de la linéarité du temps. Je travaille l’invisible et l’indicible, ce presque rien….ce vide si révélateur d’autres réalités ou de réalités autrement. Réalité mais pas vérité, ni beauté,…plutôt le magique, le sacré, la poésie…

Au premier abord, les gens voient la surface des choses, puis vient le moment des choix d’avenirs « le Passage ». Le philosophe, l’artiste,…vont plus profond encore vers le dévoilement et la connaissance. Jamais l’on ne trouve la réponse, ce qui est important c’est de poser les questions. Le doute est l’ami du chercheur.

Chaque exposition présente un état de quête et ouvre le Passage vers un autre « état » dans la continuité du chemin vers l’approfondissement.

Réussir, c’est laisser trace en imprimant son empreinte avec l’espoir d’être un tremplin pour l’avenir.
Pour les expositions je pratique le « conceptuel esthétique »

Premier manifeste en 1998, le second en 2000.

C’est la mise en situation de « volumes » fabriqués par l’artiste pour des installations dans un environnement précis. Chaque pièce, ou morceau d’installation est elle-même une réalisation artistique, mais fonctionne en plus avec l’ensemble.

======= Une signification modulable renforcée par l’organisation en fonction du lieu

======= Un art éphémère dont une partie est pérenne.

L’installation est un art éphémère, elle n’est jamais reproduite à l’identique. Chaque questionnement ou lieu de monstration induit un médium qui renforce le sens. Pour la forme le travail s’organise autour de 2 axes :

Soit : un travail de volumes en matériaux signifiants symboliquement

Soit : le médium lui-même fait sens, Photos-vidéo-performance-numérique…

Les installations ou les autres formes de la recherche peuvent paraître très différentes d’une exposition à l’autre puisque les matériaux et les techniques s’adaptent au thème et au sens. Mais toutes sont reliées, se répondent ou se questionnent dans la durée, confirmant leur pertinence.

Je réalise en plus un important travail d’archivage et de classement (photos, vidéos, textes…) seule trace pérenne de ce qui fut.

Le Passage est un travail sur la durée.

Tout d’abord j’étudie le rapport des humains avec la naissance, la mort, le primitif….les signes du passage sur terre et la création de l’univers (1983…1991)

– Traces, signes, empreintes puis les rêveurs et au passage de la comète d’Haley cosmologie,…

Ensuite, les morts sociales…la guerre

– Les Veuves (1984…1994) puis les Porteuses d’ombre (1994…2005) en photos

– « et si il était encore temps » (1990…96) et scénario pour un chaos organisé (1997…2000) pour le travail en volume-matière.

Puis avec le Passage au IIIe millénaire, la fragilité de l’espèce et sa destruction « programmée »

– Les Choses, les portes… (2000…2005)

Peu à peu, la relativité, la physique Quantique, les interférences avec le passé m’ouvrent des portes transparentes, mais possibles et ressenties : regarder pour voir.

– Trans-apparence (1996…99)

– Les hétaires (1998…2000)

– L’Entre (2005…2010)

Peu à peu, tout ramène au « Je » et si l’individu était lui-même un univers, une porte, un Passage vers d’autres choses, d’autres réels, d’autres questionnements,…???

2 grandes séries « Reflets » et « Ombres » débutées en 2005 sont toujours en cours, l’autoportrait et la lumière prennent de plus en plus d’importance (photos, vidéos, performances et installations).

L’artiste est révélateur d’invisible